
Qui sommes nous, qui suis je?
Citation de Socrate: "connais toi, toi même"
La vrai question n'est pas de décrire qui nous sommes dans la société (nationalité, âge, métier, statut social, goûts, philosophie, passé, etc).
Sinon ce serait comparable à un comédien qui parlerait de l'un de ses rôles, comme si c'était ce qu'il était réellement. Non ce n'est qu'un masque et une interprétation dans le contrat d'âme que nous avons "signé". Nous jouons tous un rôle face aux autres, selon les situations, les personnes à qui nous avons à faire et nous répondons aux exigences que la société nous impose.
Souvent dans notre vie, nous entendons ou nous le disons: "moi je suis cache, je suis vrai, je dis ce que je pense". Oui certainement mais sans se voiler la face, cette phrase est dite pour se persuader soi même avant tout, de ses propres forces et ensuite pour tenter d'impressionner l'autre. C'est pourtant bien un masque, par le fait de vouloir le faire entendre. Si la personne est aussi sûr de son charisme, elle n'a pas besoin de l’exprimer.
Se connaître véritablement, c'est interroger son "moi profond" (l'intérieur de son âme). C'est chercher des réponses au pourquoi de l'existence de ses craintes, ses phobies et ses attirances. C'est aussi tester son comportement dans le pire comme le meilleur, c'est questionner son identité d'âme face aux origines de tout, à l'univers, à l'existence et aux vies antérieures. C'est avoir cette curiosité positive intérieure et profonde. C'est le comportement d'un individu spirituel.
Le cartésien peut aussi se poser ces questions mais avec moins de véhémence et des limites qu'il s'inflige, parce qu'il se contentera de ce que lui révèle la science, par crainte de l'inconnu ou par désintéressement. Il construira un mur psychologique qu'il s'interdira de détruire et de dépasser. L'idée de l'explication rationnelle, scientifique et matérielle le rassure. Il s'en contentera et il y verra la vérité absolue. L'idée de ce qui lui échappe, ce qui ne peut être expliqué, et surtout de ce qu'il ne peut pas contrôler, l’effraie ou le dérange. La crainte ou le déni font partis d'un processus négatif qui peut mener loin dans les dérives si cet individu ne la contrôle pas. Ceci explique les raisons des moqueries, de chercher à ridiculiser et de l'agressivité verbale que certains peuvent tenir face aux gens qui expriment une expérience hors du commun physique ou différente de la leur.
Par le fait que l'individu spirituel ne met pas de limite dans la recherche à l'intérieur de soi, de l’expérience de soi, celles des autres et des capacités existantes sur terres, il aura des réponses à un moment clé de son existence. Il ouvrira ainsi le champs des possibles de connexions avec l'au delà, de manières inconsciente au départ.
Il prendra conscience que son intuition est à chaque fois exacte lorsque son mental et son affecte (émotions) ne si mêlent pas.
Par cette ouverture d'esprit, il s'autorise à élargir inconsciemment son taux vibratoire, qui permet de capter d'abord et comprendre plus tard, les signes que l'univers lui envoie.
Plus on interroge "son moi-profond", plus nous avons les outils qui permettent d'augmenter nos vibrations en contact avec l'univers, l'au-delà ou Dieu si vous préférez et si vous êtes dans la religion. (j'expliquerai pourquoi je parle d'univers plutôt que Dieu dans un autre post et pourquoi je n'ai pas de religion).
Alors je ne me permettrai pas de donner un mode d’emploi qui sous entendrait que je connais toutes les réponses. Je suis comme tout le monde, j’apprends et j'avance. Je pense que plus vous augmentez ce taux vibratoire, plus votre intuition se développe jusqu'à éveiller des capacités qui sommeillent en chaque être humain.
Lorsque votre esprit intègre bien l'idée que vous êtes une âme dans un corps, vous savez que votre venu sur terre est une énième réincarnation, que vous êtes venu sur terre pour expérimenter des épreuves. Si c'était un jeu, je dirai que le but est de retrouver la source de votre âme, depuis votre incarnation ici.
Le positif est l'amour et le négatif est, non pas la haine mais bien la peur! La haine n'est que "l'enfant" de la peur ou le dérivé si vous préférez. Je me suis amusé à faire ce schéma à suivre:

Je pense que le tord serait d'imaginer que le meilleur être humain vivant sur terre, ne vibrerait que dans la zone positive toute sa vie.
La terre est une planète à vibration basse mais qui évolue elle aussi, malgré cela. Nous vivons dans un monde de dualité. Ce qui sous entend que nous sommes obligé de ressentir et de vibrer des périodes de nos vies dans le négatif. Ce sont les épreuves de vies qui nous confrontent à la dualité.
Ce qui différencie les êtres humains, les uns des autres, est le taux vibratoire.
Plus celui ci est haut et c'est le reflet que vous vibrez dans un pourcentage important de positif. Ou prenez le inversement, plus vous vibrez dans le positif et ouvrez votre esprit et j'ose imaginer que votre taux vibratoire augmentera. Chaque être humain ne réagira pas de la même manière faces aux mêmes épreuves. Tout dépend de son expérience d'âme et d'incarnations sur Terre. Le taux vibratoire augmente et baisse toute la vie, d'après moi, selon les situations mais nous avons une moyenne générale sur terre, qui peut être, peut servir de bilan, une fois passée de l'autre côté. Je ne l'affirme pas, c'est juste un ressenti.
Je prend un exemple: deux hommes dans un milieu social et un passé semblable qui perdent leur emploies, puis sont quittés par les personnes dont ils sont amoureux.
La suite n'aura pas forcément le même résultat. L'un surmontera ces épreuves pendant que l'autre baissera les armes et se victimisera.
Ce n'est pas un jugement mais un simple constat. Il ne s'agit pas de critiquer celui qui baisse les armes. Il n'était probablement pas près à vivre ce genre d'expérience. Il arrive que notre âme choisisse la difficulté trop tôt dans les contrats. L'âme a probablement eu un appétit trop grand en souhaitant évoluer plus vite que cela ne lui était possible.
Vibrer dans le positif ne signifie pas forcément avoir une vie de rêve.
A l'inverse, vibrer dans le négatif ne signifie pas forcément avoir une vie catastrophique.
2 exemples: un riche politicien manipulateur, égocentrique et malveillant peut mener une vie de confort en se satisfaisant du matérialisme et du contrôle.
Une personne ayant traversé les pires épreuves de sa vie (perte d'enfant, divorce, maltraitance, maladies...) peut malgré ça, garder une foi absolue en la vie et les autres.
Seule la fin de votre contrat d'âme (votre mort) et la maladie, obligent à descendre votre taux vibratoire, jusqu'au moment de passer de "l'autre côté" ou de le remonter, face à cette épreuve.
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