LES VIES ANTÉRIEURES - LA RÉINCARNATION

A. Préambule:

Je dois avouer quelque chose, lorsque je prend l'initiative d'écrire sur mon blog, c'est très souvent issue d'une "énergie" qui vient le matin, celle qui me pousse à écrire.

Elle peut se propager dans la journée puis continuer le soir, mais elle vient toujours le matin au réveil: l'idée de base émettrice et planifiée de la conscience.

Ce "chuchotement" intérieur qui me "dit": "Notes tout ce qui vient d'être insuffler dans ta conscience". Entre les souvenirs, des anecdotes pour mes expériences et les sujets plus généraux à ranger dans le thème: "Mon avis sur", je n'ai presque pas besoin de réfléchir du tout.

La seule réflexion concerne mon orthographe, la formulation de certaines phrases et la compréhension de texte. Mais le plus étonnant parfois, est de ressortir des mots ou parties de phrases que je n'emploie jamais ou presque pas dans ma vie quotidienne, au point de vérifier sur "google" si je ne dit pas n’importe quoi.

Le contenu par contre,  l'idée "coule" toute seule, j'écris rapidement, je n'ai pas besoin de l'inspiration de l'écrivain. Tout est planifié dans ma conscience, je n'ai qu'à suivre le déroulé qui vient phrase après phrase comme si une partie de mon inconscience me dictait mot à mots avec une extrême rapidité.

Je passe plus de temps à me relire, corriger les fautes et de constater l'exactitude de mes formulations des phrases, afin de vérifier que le sens de cette dernière est bien en adéquation avec le message que je souhaite bien transmettre.

Il peut se passer de longues semaines sans que le sentiment de devoir écrire soit là. Parfois c'est l'inverse, en une semaine peut découler 2 sujets, que je n'ai même pas fini la 1ere. Alors je me dit: "doucement, je n'aime pas tout faire en même temps!" comme si je répondais à une 2ème partie de moi.

C'est par exemple le cas, en ce moment entre le sujet sur ma maladie et ce sujet là. C'est vrai que dans ma vie actuelle, j'aime faire les choses bien mais pas vite et simultanément.

Je viens de reprendre à peine les conférences dernièrement en ce mois de Mars et Avril 2024. J'écris ce passage précisément le 02 Mai pour vous donner un ordre de temps sur mon blog. Lors de la dernière conférence, je me rappelle avoir participé, en prenant le micro et en questionnant une coach spirituelle.

Je connaissais la réponse mais je voulais vérifier si j'étais bien en adéquation avec sa réponse et je voulais qu'elle la partage surtout au public.

Peut-être, certaines personnes présentes ne connaissaient pas la réponse, après tout.

La question était toute simple: "qu'est ce que d'après vous, fait augmenter le taux vibratoire?"

Elle m'a répondu que c'était une très bonne question. Sa réponse était la méditation et elle a commencé à employer les même mots que j'emploie dans mon blog sur la page d’accueil (la méditation, ce n'est forcément se mettre dans une certaine position assise et se poser sur un rocher...). Elle ajoute également le fait de s'épanouir, vivre l’énergie positive comme écouter de la musique par exemple.

Elle évoquait par exemple la chanson qui pour elle, lui donne une pêche d'enfer: "Dancing Queen" d'Abba.

Il m'arrive aussi souvent d'écouter cette même chanson (entre autres et avec une version plus récente" des "A*teens" pour ce petit écart anecdotique), pour les mêmes raisons que beaucoup d'autres gens, je suppose: la joie, "la pêche"et l'énergie que cela procure justement. Mais cela est valable avec toute sorte de chanson optimiste et emplie de vie.

Je lui ai alors signifié que j'étais en accord avec elle et que c'était un plaisir de l'écouter.  Instantanément, la personne responsable du son, nous a partagé cette chanson dans la salle. Nous nous serions cru dans un film de comédie musicale. Il ne manquait plus que la danse, c'était très drôle et apaisant ce contraste avec le sérieux que peut susciter l'idée de la spiritualité.

Mais quel lien avec les vies antérieurs me diriez vous? je souhaitais y venir en expliquant d’où vient le ressenti que peut avoir une coach spirituelle et le point commun de mon ressenti lorsque je suis inspiré par l'écrit sur mon blog.

Nous sommes alors, raccordés à notre âme. Celle ci est une entité immortelle et savante, elle nous transmet le ressenti, l'intuition, les petits voies que nous pouvons probablement associer à nos guides spirituels et explicitement par ce canal qui est beaucoup plus ouvert pour les médiums.

Alors attention, je ne suis pas médium mais nous avons tous la faculté, davantage pour ceux qui s'éveillent, d'entrer dans ce que je nommerai le canal de l'au-delà. Il est important de comprendre que tous ce qui est drogue, médicaments et alcool abusifs et réguliers, coupent ces liens.

La drogue peut vous y amener de manière artificielle et passagère mais elle vous coupe des avertissements des guides qui se traduisent par l'intuition ou des protections d'autres entités spirituelles.

C'est un peu comme si vous choisissiez l' ascenseur au lieu des escaliers. Vous pouvez "monter" très vite mais cela restera éphémère parce que rien n'est acquis avec certitude (ou appris), vous redescendrez aussi et très violemment.

Parce que vous ne le faite pas par un effort de passer par l'évolution spirituelle, vous choisissez une manière artificielle sans le savoir et "clandestine".

Pour symboliser l'évolution spirituelle, je donnerai l'image de l'escalier. Chaque marche que vous franchissez est acquise et vous ne redescendrez plus. L'ascenseur est éphémère.

D'après moi, les 1ères connexions se font par les rêves, les sensations de déjà vu, l'intuition et les heures miroirs. Je pourrai alors dire que vous entrez dans les couloirs en franchissant la porte d'entrée de l'au-delà, comme "Alice qui s'en va vers le pays des merveilles". Je pense d'ailleurs que ce dessin animé n'est pas anodin. Pas qu'il existe un monde Disney, mais c'est plutôt la sensation de partir vers un ailleurs que notre réalité terrestre.

Suite à une lecture d'un livre, cadeau de la sœur de mon compagnon, j'ai pu approfondir le sujet des vies antérieures et me prêter aux exercices médiumniques inscrits dessus.

Ce genre d'exercices est la panache des parapsychologues mais vous pouvez aussi vous auto-hypnotiser par le biais d'une méditation. Pour ce coup là, le livre était mon guide. Je me suis prêté à essayer cet exercice et cette méditation allait peut-être me permettre d'entrer dans ce canal volontairement et me diriger vers la porte des vies antérieurs.

 

B. Les exercices immersives de vies antérieurs:

Comme pour le pendule, il faut réussir à dissocier le mental de ce canal intuitif, c'est le plus difficile !

Je pense que l'intuition n'est pas l'instinct. Je définirai l'instinct comme une partie de celle ci, une réaction intuitive certes, mais géré par la peur et qui justement proviendrait des souvenirs refoulés de vies antérieurs.

Rien déjà que pour le 6ème sens, il se montre très souvent à la 1ère seconde, ensuite le mental prend le relais.

C'est pour cette raison, qu'il n'y a aucune certitude et qu'il faudra prendre mes expériences ci dessous que de manières très subjectives.

Pour effectuer l'exercice, je ne rentrerai pas dans les détails que le livre préconise et qui prendraient beaucoup de places dans ces écrits, mais je vais vous faire parts des fruits de mes expériences en vous évoquant 3 cas de vies antérieurs (à mon échelle de 1er niveau débutant) et 1 cas en dehors du livre que j'ai toujours eu dans ma vie actuelle. Ce sont 2 expériences masculines et 2 expériences féminines au total.

Je sais aussi que vous pouvez en formuler la demande auprès de votre guide, par le biais d'une question et au travers un rêve. Vous ne voyez pas votre guide mais il vous entend, chacune de vos demandes. Par exemple: "pourquoi suis je allergique à un aliment ou pourquoi ne puis je pas me séparer de quelque chose en particulier". Le guide vous fera parvenir à la 1ère occasion la réponse, par le biais de votre niveau spirituel si vous avez cette ouverture, le 1er niveau étant souvent le rêve, le 2ème serait les signes.

Pour d'autres plus rares pour l'instant et de nos jours, des capacités permettent un lien plus précis avec son guide.

Il ne s'agit pas de niveau intellectuel encore une fois mais de niveau d'ouverture de la conscience et de connexions, qui définissent ces possibilités.

Pour revenir sur le résultat de ces exercices de vies antérieures:

Dans mon cas, j'avais toujours 3 éléments de base:

le nombre de personne, un lieu avec une situation géographique approximative, une situation symbolique de la vie en question avec ses détails vestimentaires, matériels qui font office de la notion de l'époque approximative. Cela pouvait être une seule image (dans 2 de mes cas) ou un moment (comme une vidéo très courte, dans 2 autres cas).

 

1er cas:

Je vais commencer par ce cas de rêve demandé auprès de mon âme ou/et de mon guide, qui est en faite ma 3ème expérience. Je commence par celui là parce qu'il est le plus "traumatisant"et le plus volumineux/ long (il y a 2 moments comme "2 vidéos" pour la même vie).

Pourtant ma question était toute belle et symbolique auprès du guide:

Pourquoi j'ai choisi ma 1ère valeur qui est celle de la liberté? quelle est la raison de sentiment si ancrée dans mon âme? peux tu me relier à l'une des vies qui m'ont transmit ce sentiment".

Je ne suis pas certains d'avoir effectué ce rêve la 1ère nuit de ma demande mais peut être la 2ème et je me suis réveillé subitement avec les larmes dans les yeux (si rare)et un sentiment de tristesse intense.

Ce "rêve" me dirigeait vers l'Amérique du Nord ou le Canada dans une campagne digne de "la petite maison dans la prairie" mais avec un climat probablement plus frais que dans cette série diffusée à l'époque. Sauf que cette expérience me donnait plutôt l'envie, dans mon cas précis, d'utilisé une autre formulation qui serait plutôt: "la maison d'horreur dans la prairie".

Je vois une maison, tout pied à terre mais assez longue, je ne sais pas si elle est en bois. Elle semble isolée dans une campagne qui semble si dense, un sentiment d'être à des kilomètres de voisinage.

La maison a peu de fenêtre et il est impossible de voir ce qu'il s'y passe de l'extérieur.

A l'intérieur, c'est lugubre, on sent le manque de lumière et il règne une atmosphère très lourde.

Je vois 3 personnes, je semble être incarné dans la peau d'une femme (épouse et mère). La 2ème personne est une petite fille qui semble être la mienne, elle a les cheveux longs châtains clairs et avec ses habilles d'époque, peut-être elle a 12 ou 13 ans. Moi pareille avec un genre de chemisier blanc à manches longues et robe longue foncée, j'aperçois une "coiffe" à certains moments, cheveux longs natte à l'arrière et plutôt brune ou châtain foncé, peut-être la fin de la trentaine d'année. Je pense être elle sur l'instant, parce que je vois à travers ses yeux à certains moments et c'est la seule dans ce cas là où je ressens ses émotions.

La 3ème personne semble être le mari, sale sur lui, mal rasé, cheveux foncés, probablement dégageant l'odeur de la sueur avec un regard extrêmement froid qui ne sourit jamais. Il parle rarement mais il vaut mieux, lorsqu'il le fait, les choses commencent à mal tourner.

"Je" semble terrorisé, tout comme "ma fille", nous servons de femmes esclaves (tâches ingrates probablement aussi liées à l'époque). La règle de base est le silence en sa présence sauf quand il exige une réponse. je vois la grande pièce principale et une longue table où je sers le dîné.

Je vois que si la nourriture ne lui plait pas ou que moi ou ma fille fait la moindre gaffe, les choses tournent vite très mal. j'ai des flashs de paroles humiliantes, dégradantes et aussi de la violence inouïes (baffes sans retenues, coups d'objets dans le dos). Lorsque c'est ma fille qui doit prendre, j'essaie d'attirer son intention sur moi pour prendre les coups à sa place et faire passer sa colère sur moi.

J'ai l'impression que nous ne voyons presque personne et ils nous menacent de fermer notre bouche à l'approche d'un visiteur.

J'ai une succession de flashs de moments cruels auxquels je vous épargnerai le descriptif parce que c'est humiliant, dégradant, violent. Nous avons affaire à un homme remplis de haine et de colère.

Le 2ème passage semble être un moment plus avancé dans le temps de cette même vie, je ressens que j'ai pris conscience du viol de ma fille où je le soupçonne.

Bien que nous soyons à des km de distances de tout, je prend l'initiative de s'enfuir avec elle, probablement décidée de manière discrète.

Le meilleur moment semble être très tôt aux aurores, pour y voir clair dehors et aussi par rapport au sommeil du mari.

Je ne sais pas pourquoi nous partons avec un panier, ni même pourquoi, nous ne pouvons partir qu'à pied (pas de chevaux? je ne sais pas).

Je ressens une angoisse terrible, entre celui de ne pas faire de bruit en sortant et qu'il ne se réveille surtout pas.

Je sais que je ne sais pas où aller mais ma seule motivation, semble la fuite, le plus loin possible de cet enfer et de "cette prison" en campagne.

Une prison physique mais aussi d'émotions, de sentiments, de culpabilités, de honte, de violence et d'acharnement sur qui semble être une bonne partie de la vie.

Hélas à peine fouler la porte, j’entends sa voix, puis il hurle. Je demande à ma fille de courir le plus vite possible droit devant et je fais de même derrière elle.

En courant, je retourne la tête un instant et je le vois pointer une arme (je ne sais pas si c'est un pistolet ou une arbalète - Il est possible que le mental interfère).

Je sens comme une pression derrière ma tête, puis le noir absolu et je ne sais pas sur l'instant si ma fille se sauve mais l'intuition me dit qu'elle est morte aussi peu de temps après. En courant, avant le décès, je ressentais à chaque pas, l'onde de la liberté. Le rêve se termine par ce choc, je me réveille.

Je déduis que l'enfermement de mon corps et de mon esprit ont été si intense sur un grand nombre d'années que j'ai expérimenté non seulement la privation de liberté à un niveau extrême mais aussi subit de lourds traumatismes mentales. Avais je payé une dette karmique sur une autre vie beaucoup plus ancienne, en étant aussi un bourreau? probablement, nous l'avons tous expérimenté dans des vies antérieurs, je pense.

Le plus troublant est que je suis né avec une tâche derrière la tête sous ma chevelure que j'ai fait enlever plus jeune peu avant que ma mère ne décède. Exactement au même endroit de l'impacte de la cause du décès de la femme que je pensais être dans le rêve.

2ème cas:

Avec l'aide du livre et la méditation auto-hypnose, je ne vois qu'une image figée mais qui dégage plein de ressentis puisqu'elle symbolise plusieurs choses, l'intuition donne aussi quelques éléments supplémentaire dans le ressenti.

Dans le temps, je pense que cette vie se passe après le cas cité plus haut.

L'intuition m'indique l'Est pour le positionnement mais je ne sais pas si c'est à l'Est de la France ou à l'Est de l'Europe.

Je vois un jeune garçon, ado de 15/16 ans environ. Il est habillé aussi d'époque entre fin 1800 et début 1900 (gris foncé pour la veste et le pantalon + une chemise blanche sous la veste, il est brun, visage fin et avec un béret noir et gris en velours). Le béret à la pointe par le devant et non sur un côté.

Il le laisse d'ailleurs bien retomber légèrement sur ses yeux comme pour cacher une partie de lui profondément enfouis. D'ailleurs je ne vois pas la couleur de ses yeux. J'ai la sensation qu'il est mort jeune mais je ne sais pas du tout à quel âge et parti de quoi.

Je ressens qu'il est dans une grande solitude mais cela ne semblait pas le gêner.

Il se positionne dos contre un mur, avec la jambe droite relevé et pied sur le mur, les mains dans les poches.

De loin, j'ai 2 visions d'angles sur cette image: une vue d'en face de lui légèrement en hauteur et une à travers son regard. Je suppose être lui.

Je comprend qu'il est dans une gare, ou du moins à proximité devant les rails. Je ressens une passion immense pour les trains à vapeur.

Je crois qu'il idéalise cette invention et qu'il voit le train comme une forme d'évasion, de rêves. Il s'imagine voyager et découvrir le monde mais il est pauvre.

Je ne sais pas s'il est sans parents, s'il a une famille. Le sentiment de solitude est si pesant mais il n'est pas du tout suicidaire, juste rêveur de découvrir d'autres horizons.

Je ne peux pas dire si plus tard, il a travaillé comme cheminot mais l'idée ne me surprendrait, pas sauf s'il est mort avant. Je ressens sa passion tellement forte que c'est une obsession dans sa vie.

J'en déduis que tout petit dans ma vie actuelle, les petits trains électriques me fascinaient, c'était sans doute mon 1er jouet préféré et j'ai gardé en moi une passion du train, peut-être amoindrit avec mon âge avancé par rapport à cette vie là mais elle existe encore enfouit. Les avions, les bateaux ou les voitures ne m’intéressaient pas.

Dans la vie actuelle, lorsqu'on cherche un métier, le travail dans un train me traversait l'esprit plus jeune mais je ne voulais pas être contrôleur ou exercer des métiers demandant des connaissances techniques qui me découragaient. Seule l'idée du voyage m'inspirait.

 

3ème cas:

A la suite d'un 2ème exercice, toujours avec l'aide du livre, je sens une époque plus lointaine que les cas cités plus haut, peut être dans les mêmes années de la révolution Française probablement sur le ressenti, donc bien en France celui ci.

Je n'ai qu'un seul moment mais les images ne sont pas figées. Elle concerne 2 personnes jeunes entre 25 et 30ans, un homme et une femme. J'ai une vue du dessus et à travers les yeux de l'un des 2.

L'homme est brun, bien habillé l'air "gentilhomme d'époque", Chemisette blanche d'époque ouverte laissant entrevoir le haut de son torse, pantalon marron je crois, cheveux brun ébouriffé au dessus du front, souriant, beau garçon et svelte. Il me fait penser à un soldat au repos.

La Femme a les yeux et cheveux claires (peut être blonde ou blonde vénitienne) avec une forme volumineuse au contour avec des tresses. Elle semble pulpeuse avec des formes avantageuses comme dirait certains homme, avec une robe blanche longue et crème à dentelles et me semble t'il avec un chapeau blanc. Elle ne semble pas pauvre du tout mais ne semble pas non plus avoir un titre important. Peut-être une simple famille de noblesse et rien de plus.

Sur la vue du dessus, je les vois dans la nature près d'un point d'eau (est ce une fontaine ou un étang? je ne sais pas).

L'homme est allongé un genoux relevé avec un pied au sol et le haut du corps légèrement relevé avec la tête. un avant bras et le coude au sol. Il regarde avec tendresse et sourire celle qu'il semble aimer.

La femme est debout, tourbillonne un peu sur elle même avec un éventail, comme une danse sans musique et n'arrête pas de rire. Je ne comprend pas ce qu'elle murmure, pourtant il me semble que je suis elle puisque d'un coup, je vois à travers ses yeux. Je vois l'homme de face avec son regard qui me paraît si familier.

Je nous sent heureux et sincères. L'amour est dans les 2 sens. Mais je ressens aussi le futur qui me montre un tracas que refoule l'homme et une naïveté profonde chez la femme. L'homme ne lui montre pas son anxiété et profite de l'instant présent. La femme ressent juste l'amour, l'insouciance et la gaieté. Je ressens un poids pesant et angoissant à venir pour ces 2 personnes qui seront victimes et vont se perdre par la tragédie du sang et de la guerre.

Est ce que c'est la révolution ou un autre évènement lié aux soldats? je ne peux pas l'affirmer mais le supposer. Je ne peux supposé aussi que nous étions du côté de la défense de la royauté, donc inévitablement lié à notre perte.

Aujourd'hui ce que j'en déduis, c'est que je n'ai jamais été un grand passionné de l'histoire à l'école mais mon cœur vibrait déjà pour 2 époques bien différentes.

L'époque de la révolution Française bien que ce soit une période sanguinaire et l'époque plus lointaine de la Grèce antique, il y a plus de 3000 ans.

Est ce un pur fantasme de ma part ou une vrai exploration de vie antérieure, chacun jugera. Ça reste subjectif.

 

4ème cas:

Celui ci n'est pas une expérience du livre mais un ressenti angoissant que j'ai eu tout au long de ma vie, de très jeune à maintenant.

J'ai toujours eu l'image et je me suis toujours vu dans la peau d'un vieux monsieur qui semble devoir rester immobilisé sur le dos dans un petit lit d'une place, une grande période de la fin de sa vie jusqu'à la mort sans jamais se lever.

Cette période semble plus récente que le 1er et 3ème cas mais je ne sais pas par rapport au 2ème. Elle se situe dans un pays très ensoleillé de l'Europe, je vois l'Italie mais je peux me tromper.

Je vois surtout l'apparence du lit que j'ai en horreur depuis toujours, j'ai une phobie de ce genre de lit. J'en ai déjà vu dans mon entourage. Je ne le dis pas mais j'ai comme une angoisse inexplicable si on me demande de rester dormir. Ces lits sont en forme de barreaux métalliques espacés sur le devant et l'arrière, arrondie dans les angles.

Peut-être est ce des lits d’hôpitaux d'époque. Dans l'image, la chambre est petite, la fenêtre ne donne que sur le pied de mon lit, je ne peux pas voir l'extérieur. Je sais que je suis dépendant des autres, je souffre beaucoup physiquement dans cette vie là, peut-être d'une maladie ou un problème physique. Je sens l'homme obligé de rester allongé constamment et je sens aussi une chaleur intempestive dans la pièce omniprésente. J'ai la volonté de mourir dans cette vie là mais même ça, je ne peux pas le faire, je subi constamment. Je peux ajouter aussi qu'apparemment cette pièce est sans télévision.

Je suis prisonnier d'un lit. J'imagine que cette vie là aussi accroit mon amour et ma volonté de la liberté.

Aujourd'hui je sais que je suis plutôt tendance couche tard et lève tôt, je n'aime pas passer trop de temps au lit. Mon lit est immense pour ne pas ressentir l'immobilité. Il m'arrive de craindre souvent la chaleur trop forte dans la chambre. Je n'ai presque jamais mit de chauffage sauf les hivers très rudes. Quand j'étais jeune, je souffrais de devoir laisser le conduis de cheminer chauffer ma chambre pour chauffer ensuite celle de mon frère. Je me mettais à dos ma mère et mon frère à cause de ça, lorsque je disais vouloir fermer ce conduis. Je deviens claustrophobe et je dors très mal, voir presque pas dans des conditions de chaleur.

Il m'arrive encore aujourd'hui d'avoir des conversations de divergences sur le sujet avec mon compagnon.

Je dors les 3/4 du temps de l'année la fenêtre ouverte pour laisser l'air frais rentrer. 

D'un autre côté, le fais d'éprouver de la chaleur permanente en soi, c'est aussi le ressenti des futurs magnétiseurs lorsqu'il sont jeunes.

Ma mère me disait d'ailleurs qu'elle redoutait de me faire des bisous parce que j'étais "électrique" et c'était vrai. Les montres non plus ne me convenaient pas au contact de ma peau et proches de mes mains. Des démangeaisons apparaissaient sur mes bras et bizarrement, les montres se déréglaient toutes. Elles retardaient la plupart du temps. Je n'en n'ai plus jamais porté par la suite, ni même des bracelets métalliques ou des bagues, je ne les gardais jamais très longtemps.

Conclusion:

 

 

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